Les joueurs en ligne à la recherche de jeux de casino peuvent être déçus en France. L’Arjel, la plus haute autorité de France qui régule le secteur des jeux sur Internet, n’autorise pas l’exploitation des machines à sous et des jeux de table.
La conséquence de cette situation est que les opérateurs de casino en ligne n’acceptent pas les joueurs provenant de France et seuls des casinos virtuels peu sérieux et difficilement identifiables acceptent des joueurs français.
Les opérateur de jeux de casino, comme Bwin, Unibet, Microgaming, NetEnt et Playtech, des géants des jeux de casino qui couvrent presque le 100% des mises effectuées sur des casinos en ligne, sont très à cheval avec les lois de chaque pays, et la France ne fait pas exception.
Situation provisoire ou définitive, nul n’a la réponse, mais dans les faits les joueurs professionnels en ligne et les entreprises liées aux jeux de casino n’existent plus en France.
Les grands gagnants de la réglementation française sont sans surprise le Belgique, la Grande Bretagne et le Canada, trois pays où les joueurs pros et les startups liés au gambling online sont reçus à bras ouverts.
Pour ne citer qu’en exemple, la startup des opérateurs des sites de casino en ligne du Québec s’est orientée sur Montréal, alors que d’autres ont préférés élire domicile à Bruxelles ou à Londres. Londres reste le fief des joueurs professionnels les plus discrets et talentueux, alors qu’à Montréal ce sont plutôt les startups ayant ciblé la gestion des sites de casino, avec un œil ouvert sur la prochaine légalisation de sites de casino aux USA. Les USA, pour souvenir, étaient le plus grand marché mondial des sites de casino avant qu’en 2006 le secteur soit banni. Depuis cette année, des États y ont décidé de légaliser le secteur pour dynamiser leurs économies locales et répondre aux demandes des utilisateurs du web qui souhaitent jouer en ligne dans un cadre légal et contrôlé.